Libertés publiques et passe vaccinal
Le 12 juillet dernier, le président de la République annonçait un certain nombre de mesures contraignantes destinées à inciter très fortement la population à recourir à la vaccination contre le COVID-19.
Nous ne rentrerons pas dans le débat de l’efficacité de la vaccination tant ce domaine doit rester l’apanage du corps scientifique.
En revanche, cette allocution ainsi que la loi adoptée fin juillet par le Parlement porte une atteinte flagrante et disproportionnée aux droits et libertés fondamentaux attachés à chaque citoyen français.
En effet, il nous semble important de ne pas se laisser envahir par la peur et la précipitation, mais au contraire de rester lucide sur les conséquences de la vaccination, à ce jour malheureusement inconnues.
Aucun acte médical n’est anodin et chacun doit pouvoir conserver la liberté d’y recourir ou non sans qu’il ne soit mis au ban de la société ou accusé d’un quelconque manque de civisme.
C’est la raison pour laquelle le cabinet Guilland-Avocat est cosignataire d’un tribune publiée sur le site d’information MEDIAPART à retrouver ici :
ainsi que de la saisine du Conseil Constitutionnel interrogeant les Sages sur les atteintes aux libertés publiques et sur le caractère disproportionné des mesures contenues dans la loi relative à la gestion de la crise sanitaire.